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Les Speculoos sont un peu à Dominique Watrin ce que la mèche est à la dynamite, ce que le détonateur est à la bombe, ce que Boston était à l'étrangleur, ce que Docteur Jekyll était à Mister Hyde : l'origine du développement de son vice, le déclencheur de son explosion malfaisante, le berceau de sa perversité, la façade de respectabilité de son odieux personnage.
Premier contexte d'apparition de Dominique Watrin sur la scène et sur la toile du net, Les Speculoos ne sont pas sa Préhistoire mais son Moyen Âge. En savoir plus sur cette glorieuse époque permettra aux archéologues de l'humour de le découvrir jeune, beau (selon sa propre estimation) et, surtout, chevelu. Histoire de savoir si aujourd'hui, il en est à sa Renaissance ou, comme il le pense, à son Siècle des Lumières...